Ovins Moins de brebis... donc moins d’agneaux
Pour FranceAgriMer, l’augmentation des abattages de brebis en 2017 reflète davantage un mouvement de décapitalisation qu’un renouvellement accru pour cause de mauvaise fertilité.
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qu’il a mis en ligne. Cela peut être dû en partie à un renouvellement accru du cheptel de reproductrices en 2017 pour cause de mauvaises fertilités, mais ces fortes sorties pourraient plutôt indiquer une décapitalisation. »
Production en hausse outre-Manche
Avec une baisse du cheptel reproducteur de l’ordre de 1 à 2 %, FranceAgriMer table sur un repli probable de la production d’agneaux de 2 % entre 2017 et 2018. Ce qui pourrait faire le bonheur des Britanniques. « La production du Royaume-Uni devrait augmenter en 2018, avec notamment des sorties d’agneaux qui ont été retardées à la fin de 2017 », rapporte l’organisme.
Cette augmentation probable des importations en provenance des îles britanniques se traduirait par une pression importante sur la cotation française des agneaux de boucherie au début de l’année. Quant à la Nouvelle-Zélande, elle devrait concentrer ses flux commerciaux sur l’Asie et ne remplirait pas son contingent européen, laissant une porte ouverte à l’Australie.
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